l'information génétique sa nature son mécanisme d expression et sa transmission
Une multitude de gamètes
différents
Chez les organismes diploïdes, la reproduction sexuée implique la formation de cellules reproductrices, ou gamètes haploïdes, contenant chacune la moitié de l’information génétique de l’individu qui les produit. À l’exception des gamètes, chacune des cellules d’un organisme diploïde possède des paires de chromosomes homologues : l’un d’origine paternelle et l’autre d’origine maternelle. La première étape de la formation des gamètes est une double division cellulaire appelée méiose, qui permet d’obtenir quatre cellules haploïdes à partir d’une cellule diploïde. Elle est précédée d'une copie à l’identique du matériel génétique (réplication de l’ADN).
Chez les organismes diploïdes, la reproduction sexuée implique la formation de cellules reproductrices, ou gamètes haploïdes, contenant chacune la moitié de l’information génétique de l’individu qui les produit. À l’exception des gamètes, chacune des cellules d’un organisme diploïde possède des paires de chromosomes homologues : l’un d’origine paternelle et l’autre d’origine maternelle. La première étape de la formation des gamètes est une double division cellulaire appelée méiose, qui permet d’obtenir quatre cellules haploïdes à partir d’une cellule diploïde. Elle est précédée d'une copie à l’identique du matériel génétique (réplication de l’ADN).
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Le hasard de la fécondation
Les brassages au cours de la méiose permettent d’obtenir une grande diversité de gamètes contenant chacun une combinaison unique et nouvelle d’allèles. Chez chaque parent, un seul de ces gamètes sera impliqué dans la fécondation. Dans une fratrie humaine, la probabilité que deux individus non jumeaux vrais soient génétiquement identiques est quasiment nulle
Le sujet de question de synthèse
La diversité du vivant a pour origine de nombreux mécanismes dont certains sont d’origine génétique. En prenant comme exemple la transmission de deux gènes liés, montrez comment lors de la méiose il peut s’effectuer un brassage de l’information génétique. Votre exposé sera accompagné de schémas.
CONVENTIONS D’ÉCRITURE EN GÉNÉTIQUE
En génétique, les différents allèles d’un gène sont désignés par une ou deux lettres. L’allèle dominant est écrit en majuscule ou minuscule et porte le signe (+) en exposant ; l’allèle récessif est écrit en minuscules et ne porte pas de signe. Ex. : chez la drosophile, les ailes peuvent être vestigiales (allèle vg) ou normales (allèle vg+). Le phénotype s’écrit entre crochets.
Ex. : [vg+] signifie que la drosophile porte des ailes normales. Le génotype s’écrit entre parenthèses. Les deux allèles que possède l’individu diploïde sont séparés par deux traits dont chacun représente l’un des chromosomes homologues. Ex. : le génotype d’une drosophile hétérozygote s’écrit (vg+//vg)