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Atomistique

La théorie atomique 
avant la mécanique quantique Contrairement à ce qu’indique son étymologie (« a-tome » signifie en grec « indivisible »), l’atome est constitué d’autres particules, dites élémentaires. C’est la constitution détaillée de l’atome qui est l’objet de ce qu’on appelle la théorie atomique. En 1911, Rutherford proposa pour l’atome un modèle planétaire où les électrons, chargés négativement, tournent autour d’un noyau constitué de protons chargés positivement, la force d’attraction électrostatique remplaçant la force de gravitation.
Cours de Atomistique
   
Examens Corrigés Atomistique

Travaux dirigés de Atomistique


Production des spectres d’émission atomique 
En excitant suffisamment (électriquement ou thermiquement) des éléments ou leurs sels (composés ioniques), ils émettent de la lumière (visible ou non) qui, analysée au spectroscope, donne toujours un spectre de raies monochromatiques discrètes (et en plus, éventuellement, un spectre continu).

Propriétés des spectres atomiques 
La plupart des spectres atomiques montrent un enchevêtrement complexe de raies. Mais pour certains atomes ou ions, en particulier pour l’atome H, on constate que les raies sont réparties par séries de façon régulière (séries spectrales).

Résultats de la spectroscopie atomique 
Les études de spectroscopie atomique montrent que les spectres d’émission et d’absorption sont constitués de raies fines discrètes. Dans le cas de l’atome H et des ions atomiques à un seul électron, ces raies sont disposées en séries séparées (pour H : séries de Lyman, Balmer, etc.).

Constante d’écran et énergie de l’atome 
Considérons un électron ei dans un atome polyélectronique. Il est en interaction avec le noyau et tous les autres électrons. Son attraction par la charge Ze du noyau est atténuée par la répulsion des autres électrons

La théorie atomique 
avant la mécanique quantique Contrairement à ce qu’indique son étymologie (« a-tome » signifie en grec « indivisible »), l’atome est constitué d’autres particules, dites élémentaires. C’est la constitution détaillée de l’atome qui est l’objet de ce qu’on appelle la théorie atomique. En 1911, Rutherford proposa pour l’atome un modèle planétaire où les électrons, chargés négativement, tournent autour d’un noyau constitué de protons chargés positivement, la force d’attraction électrostatique remplaçant la force de gravitation.
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Production des spectres d’émission atomique 
En excitant suffisamment (électriquement ou thermiquement) des éléments ou leurs sels (composés ioniques), ils émettent de la lumière (visible ou non) qui, analysée au spectroscope, donne toujours un spectre de raies monochromatiques discrètes (et en plus, éventuellement, un spectre continu).

Propriétés des spectres atomiques 
La plupart des spectres atomiques montrent un enchevêtrement complexe de raies. Mais pour certains atomes ou ions, en particulier pour l’atome H, on constate que les raies sont réparties par séries de façon régulière (séries spectrales).

Résultats de la spectroscopie atomique 
Les études de spectroscopie atomique montrent que les spectres d’émission et d’absorption sont constitués de raies fines discrètes. Dans le cas de l’atome H et des ions atomiques à un seul électron, ces raies sont disposées en séries séparées (pour H : séries de Lyman, Balmer, etc.).

Constante d’écran et énergie de l’atome 
Considérons un électron ei dans un atome polyélectronique. Il est en interaction avec le noyau et tous les autres électrons. Son attraction par la charge Ze du noyau est atténuée par la répulsion des autres électrons