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Cours Tectonique



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TP: Série: Cartographie:     cliquez ici
COURS DE TECTONIQUE 2ème partie cliquez ici 



Conclusion 
Ce stage avait pour but la cartographie du réflecteur associé à l’événement tectonique TECTA dans le Sud-Ouest Pacifique. Il m’a d’abord fallu me familiariser avec la base de données sismiques afin d’homogénéiser un maximum de profils entre eux. Afin de comprendre l’utilisation du logiciel Kingdom et d’un pointé sismique, j’ai pointé le fond de l’eau sur presque toute la base de donnée. J’ai alors pu pointer l'évènement TECTA sur près de 15 000km de profils

Au regard des différentes tâches accomplies, ce stage m'a non seulement permis de cartographier des horizons mais également de réaliser un schéma interprétatif qui tente d'expliquer l'évènement TECTA. C’est donc à partir de 15 000 km d’interprétation de TECTA qu’une évolution tectonostratigraphique de la région de la Mer de Tasman de l’Eocène à l’actuel a été proposée. Ainsi, on peut penser qu’avant TECTA le bassin de Nouvelle-Calédonie était quasi-inexistant.

TECTA
L’aboutissement d’un projet tel que connaitre l’origine réelle de TECTA et de pouvoir proposer un modèle tectonique tangible est un travail qui nécessite encore beaucoup de temps. Il serait tout d’abord nécessaire de continuer l’homogénéisation de la base de données très précisément afin qu’il n’y ait plus aucun problèmes de calage. Par la suite, il faudrait continuer les interprétations sismiques en délimitant sur chaque profil les réelles zones d’érosion (associées aux toplaps). 

C’est alors que l’on pourrait en déduire une paléogéographie de la région plus précise et peut être montrer la localisation d’îles existantes à l'Eocène sur les rides. Il faudrait faire de même avec les zones de remplissage (associées aux onlaps) de bassin et l’on pourrait alors cartographier précisément TECTA.

Le pointé d’un horizon sismique
Lorsqu’on juxtapose ces traces sismiques, on obtient alors des réflecteurs sismiques (Figure 17) Les réflecteurs, qui sont une succession cohérente de traces traduisent la variation de vitesse de propagation des ondes le long d’une interface. Ainsi, lorsqu’il y a une variation de vitesse de propagation des ondes, c’est qu’il y a une différence acoustique. 

Celle-ci révèle donc une discontinuité qui se traduit généralement par un contraste lithologique. C’est cette variation du signal qu’on appelle un horizon et que l’on pointe. Le pointé d’un horizon correspond simplement au suivi d’un réflecteur, marqueur d’un contraste lithologique.



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Conclusion 
Ce stage avait pour but la cartographie du réflecteur associé à l’événement tectonique TECTA dans le Sud-Ouest Pacifique. Il m’a d’abord fallu me familiariser avec la base de données sismiques afin d’homogénéiser un maximum de profils entre eux. Afin de comprendre l’utilisation du logiciel Kingdom et d’un pointé sismique, j’ai pointé le fond de l’eau sur presque toute la base de donnée. J’ai alors pu pointer l'évènement TECTA sur près de 15 000km de profils

Au regard des différentes tâches accomplies, ce stage m'a non seulement permis de cartographier des horizons mais également de réaliser un schéma interprétatif qui tente d'expliquer l'évènement TECTA. C’est donc à partir de 15 000 km d’interprétation de TECTA qu’une évolution tectonostratigraphique de la région de la Mer de Tasman de l’Eocène à l’actuel a été proposée. Ainsi, on peut penser qu’avant TECTA le bassin de Nouvelle-Calédonie était quasi-inexistant.

TECTA
L’aboutissement d’un projet tel que connaitre l’origine réelle de TECTA et de pouvoir proposer un modèle tectonique tangible est un travail qui nécessite encore beaucoup de temps. Il serait tout d’abord nécessaire de continuer l’homogénéisation de la base de données très précisément afin qu’il n’y ait plus aucun problèmes de calage. Par la suite, il faudrait continuer les interprétations sismiques en délimitant sur chaque profil les réelles zones d’érosion (associées aux toplaps). 

C’est alors que l’on pourrait en déduire une paléogéographie de la région plus précise et peut être montrer la localisation d’îles existantes à l'Eocène sur les rides. Il faudrait faire de même avec les zones de remplissage (associées aux onlaps) de bassin et l’on pourrait alors cartographier précisément TECTA.

Le pointé d’un horizon sismique
Lorsqu’on juxtapose ces traces sismiques, on obtient alors des réflecteurs sismiques (Figure 17) Les réflecteurs, qui sont une succession cohérente de traces traduisent la variation de vitesse de propagation des ondes le long d’une interface. Ainsi, lorsqu’il y a une variation de vitesse de propagation des ondes, c’est qu’il y a une différence acoustique. 

Celle-ci révèle donc une discontinuité qui se traduit généralement par un contraste lithologique. C’est cette variation du signal qu’on appelle un horizon et que l’on pointe. Le pointé d’un horizon correspond simplement au suivi d’un réflecteur, marqueur d’un contraste lithologique.