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cours Géodynamique interne

L’imagerie et les mesures satellitaires fournissent, en continu, des quantités considérables de données qui permettent à la communauté scientifique de quantifier et de modéliser les déplacements des plaques, mais aussi des masses d’eau et d’air des enveloppes fluides externes, l’hydrosphère et l’atmosphère. Mais les progrès les plus récents et souvent décisifs, sont désormais obtenus à travers la prise en compte et l’analyse des couplages existant entre géodynamique interne des enveloppes solides, géodynamique externe des enveloppes fluides 


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Des observations directes du manteau
Il est aussi possible d’échantillonner de telles roches en domaine continental, principalement dans les séries ophiolitiques (associations pétrographiques interprétées comme des morceaux de lithosphère océanique « échoués » sur la lithosphère continentale). 
C’est par exemple le cas en Oman, où la péridotite couvre des surfaces importantes à l’affleurement, ou à plus petite échelle dans les Alpes (série du Chenaillet, massif du Lanzo, chapitre 12). D’autres affleurements exposent parfois des péridotites en dehors des contextes géodynamiques précédents ; c’est le cas de la péridotite visible autour de l’étang de Lhers (Pyrénées ariégeoises) dont dérive le terme de lherzolithe.

Gastropodes 
Peu d'évidences paléoécologiques semblent pouvoir être raisonnablement basées sur la seule morphologie des Gastropodes. Quelques observations méritent néanmoins d'être faites : Les Pleurotomariidae, dont il est assez remarquable de constater l'absence totale dans toute l'étendue de notre terrain, 

sont des organismes à test mince et fragile x , qui semblent être restés de tous temps à l'écart des milieux trop exposés (ils sont actuellement cantonnés à des profondeurs dépassant 100 m et atteignant parfois plus de 300 m). Ainsi sont-ils représentés par plusieurs espèces dans certains niveaux du Bajocien et du Callovien-Oxfordien des Ardennes, à sédimentation marno-calcaire de mode plus calme, tandis que les conditions hydrodynamiques qui ont prévalu au Bathonien ne leur auraient pas permis de subsister. 

Surrection des chaînes de montagnes
Ce déséquilibre initial vraisemblablement lié à la dynamique de la collision (entraînement en profondeur) est responsable d’un mouvement vertical de remontée qui participe à l’orogenèse et souvent même l’entretient ou la prolonge alors que les causes géodynamiques de formation de la chaîne s’affaiblissent ou même viennent à cesser. L’altitude d’une chaîne de montagnes peut ainsi continuer d’augmenter alors que la cause même de sa formation (la convergence lithosphérique) est devenue très peu marquée ou a disparu. 

Cependant, hormis ces quelques situations, il est important de considérer que les causes de perturbation et les réactions isostatiques induites se réalisent approximativement aux mêmes vitesses. C’est le cas de mouvements verticaux ayant pour origine un réajustement thermique ou un processus tectonique associé à la mobilité horizontale de la lithosphère qui se réalisent pratiquement « à l’équilibre isostatique ». Nous allons envisager maintenant quelques exemples de telles situations.

L’imagerie et les mesures satellitaires fournissent, en continu, des quantités considérables de données qui permettent à la communauté scientifique de quantifier et de modéliser les déplacements des plaques, mais aussi des masses d’eau et d’air des enveloppes fluides externes, l’hydrosphère et l’atmosphère. Mais les progrès les plus récents et souvent décisifs, sont désormais obtenus à travers la prise en compte et l’analyse des couplages existant entre géodynamique interne des enveloppes solides, géodynamique externe des enveloppes fluides 


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Il est aussi possible d’échantillonner de telles roches en domaine continental, principalement dans les séries ophiolitiques (associations pétrographiques interprétées comme des morceaux de lithosphère océanique « échoués » sur la lithosphère continentale). 
C’est par exemple le cas en Oman, où la péridotite couvre des surfaces importantes à l’affleurement, ou à plus petite échelle dans les Alpes (série du Chenaillet, massif du Lanzo, chapitre 12). D’autres affleurements exposent parfois des péridotites en dehors des contextes géodynamiques précédents ; c’est le cas de la péridotite visible autour de l’étang de Lhers (Pyrénées ariégeoises) dont dérive le terme de lherzolithe.

Gastropodes 
Peu d'évidences paléoécologiques semblent pouvoir être raisonnablement basées sur la seule morphologie des Gastropodes. Quelques observations méritent néanmoins d'être faites : Les Pleurotomariidae, dont il est assez remarquable de constater l'absence totale dans toute l'étendue de notre terrain, 

sont des organismes à test mince et fragile x , qui semblent être restés de tous temps à l'écart des milieux trop exposés (ils sont actuellement cantonnés à des profondeurs dépassant 100 m et atteignant parfois plus de 300 m). Ainsi sont-ils représentés par plusieurs espèces dans certains niveaux du Bajocien et du Callovien-Oxfordien des Ardennes, à sédimentation marno-calcaire de mode plus calme, tandis que les conditions hydrodynamiques qui ont prévalu au Bathonien ne leur auraient pas permis de subsister. 

Surrection des chaînes de montagnes
Ce déséquilibre initial vraisemblablement lié à la dynamique de la collision (entraînement en profondeur) est responsable d’un mouvement vertical de remontée qui participe à l’orogenèse et souvent même l’entretient ou la prolonge alors que les causes géodynamiques de formation de la chaîne s’affaiblissent ou même viennent à cesser. L’altitude d’une chaîne de montagnes peut ainsi continuer d’augmenter alors que la cause même de sa formation (la convergence lithosphérique) est devenue très peu marquée ou a disparu. 

Cependant, hormis ces quelques situations, il est important de considérer que les causes de perturbation et les réactions isostatiques induites se réalisent approximativement aux mêmes vitesses. C’est le cas de mouvements verticaux ayant pour origine un réajustement thermique ou un processus tectonique associé à la mobilité horizontale de la lithosphère qui se réalisent pratiquement « à l’équilibre isostatique ». Nous allons envisager maintenant quelques exemples de telles situations.