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cours Géodynamique externe

L’imagerie et les mesures satellitaires fournissent, en continu, des quantités considérables de données qui permettent à la communauté scientifique de quantifier et de modéliser les déplacements des plaques, mais aussi des masses d’eau et d’air des enveloppes fluides externes, l’hydrosphère et l’atmosphère. Mais les progrès les plus récents et souvent décisifs, sont désormais obtenus à travers la prise en compte et l’analyse des couplages existant entre géodynamique interne des enveloppes solides, géodynamique externe des enveloppes fluides 

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Gastropodes 
Peu d'évidences paléoécologiques semblent pouvoir être raisonnablement basées sur la seule morphologie des Gastropodes. Quelques observations méritent néanmoins d'être faites : Les Pleurotomariidae, dont il est assez remarquable de constater l'absence totale dans toute l'étendue de notre terrain, 

sont des organismes à test mince et fragile x , qui semblent être restés de tous temps à l'écart des milieux trop exposés (ils sont actuellement cantonnés à des profondeurs dépassant 100 m et atteignant parfois plus de 300 m). Ainsi sont-ils représentés par plusieurs espèces dans certains niveaux du Bajocien et du Callovien-Oxfordien des Ardennes, à sédimentation marno-calcaire de mode plus calme, tandis que les conditions hydrodynamiques qui ont prévalu au Bathonien ne leur auraient pas permis de subsister.

Madréporaires 
Si nos espèces rentrent toutes dans des familles que les auteurs s'accordent pour considérer comme hermatypiques, certaines au moins semblent n'avoir pris aucune part à la construction des récifs. C'est le cas en particulier pour les petites formes libres, Chomatoseris et Genabacia qui, par ce fait même, ne pouvaient certainement subsister que dans des lieux suffisamment calmes ou abrités; 



les Microsolenidae libres se trouvent du reste généralement liés au Jurassique avec les faciès marneux et ils atteignent ici même leur maximum d'abondance dans les calcaires marno-crayeux supérieurs et les calcaires marneux inférieurs (les Genabacia n'existent en particulier qu'à ce dernier niveau). 

L’imagerie et les mesures satellitaires fournissent, en continu, des quantités considérables de données qui permettent à la communauté scientifique de quantifier et de modéliser les déplacements des plaques, mais aussi des masses d’eau et d’air des enveloppes fluides externes, l’hydrosphère et l’atmosphère. Mais les progrès les plus récents et souvent décisifs, sont désormais obtenus à travers la prise en compte et l’analyse des couplages existant entre géodynamique interne des enveloppes solides, géodynamique externe des enveloppes fluides 

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Gastropodes 
Peu d'évidences paléoécologiques semblent pouvoir être raisonnablement basées sur la seule morphologie des Gastropodes. Quelques observations méritent néanmoins d'être faites : Les Pleurotomariidae, dont il est assez remarquable de constater l'absence totale dans toute l'étendue de notre terrain, 

sont des organismes à test mince et fragile x , qui semblent être restés de tous temps à l'écart des milieux trop exposés (ils sont actuellement cantonnés à des profondeurs dépassant 100 m et atteignant parfois plus de 300 m). Ainsi sont-ils représentés par plusieurs espèces dans certains niveaux du Bajocien et du Callovien-Oxfordien des Ardennes, à sédimentation marno-calcaire de mode plus calme, tandis que les conditions hydrodynamiques qui ont prévalu au Bathonien ne leur auraient pas permis de subsister.

Madréporaires 
Si nos espèces rentrent toutes dans des familles que les auteurs s'accordent pour considérer comme hermatypiques, certaines au moins semblent n'avoir pris aucune part à la construction des récifs. C'est le cas en particulier pour les petites formes libres, Chomatoseris et Genabacia qui, par ce fait même, ne pouvaient certainement subsister que dans des lieux suffisamment calmes ou abrités; 



les Microsolenidae libres se trouvent du reste généralement liés au Jurassique avec les faciès marneux et ils atteignent ici même leur maximum d'abondance dans les calcaires marno-crayeux supérieurs et les calcaires marneux inférieurs (les Genabacia n'existent en particulier qu'à ce dernier niveau).